Celle qui ne viendra jamais !
On sait que l’Arlésienne est une habitante d’Arles, en Provence, mais les Arlésiennes ont elle l’habitute de » poser » des lapins à ceux qui les attendent ? au point que c’est devenu une expression.
On ne peut pas vraiment généraliser, car c’est d’une Arlésienne contée par Alphonse Daudet dont on parle, qui la fait apparaître dans un conte en 1866, avant que Georges Bizet la mette en musique dans ce dernier dans lequel, elle ne sera jamais présente.
Dans cette histoire Jan un berger, jeune homme, est tombé amoureux d’une Arlésienne, vue qu’une seule fois, et dont il est tombé fou amoureux. Des fiançailles , une très grande fête est organisée sans que cette dernière soit présente ; puis en milieu de soirée un homme arrive, et indique au père que cette personne était une « coquine » .
Désespéré, le pauvre Jan devient aigri, taciturne, termine la fête, et se suicide sous les yeux de sa mère..
Triste épilogue pour une cette histoire d’amour.