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Dans le monde d’aujourd’hui

Nous sommes au XXIème siècle, ouvert sur la technologie en tout genre, la médecine qui progresse, enfin tant de choses, qui devraient aller de mieux en mieux, mais nous vivons un avenir incertain même un quotidien anxiogène, attentats, le dernier en est il un ?? usine qui brûle, nous respirons de très  » mauvaises choses  » pour notre santé, et la suite bien souvent on la connait,  » CANCER « , soins coûteux, souffrances morales et physiques, enfin bref j’en passe, mais nous oublions aussi une autre chose, la misère humaine qui subsiste, je vous laisse découvrir ou redécouvrir ce texte de Victor Hugo, rien n’a changé ou presque ……… Les siècles passent et les Misérables sont toujours présents.

Bonne fin de semaine, bonne semaine à venir.

Les 13 desserts, en Provence.

C’est une coutume dans notre région, à la Noël, pas évident d’avoir tout à la fois.. Mais bon on se débrouille toujours pour en avoir un peu….. Voici le détail de cette coutume…

Les 13 desserts, aussi appelés Calenos, est une tradition provençale, dont les premières traces remontent au XVIIème siècle.

C’est un prêtre, de l’un des quartier de Marseille, qui en parle en 1683 dans son livre « Explication des usages et coutumes des Marseillais ».

A l’époque, ce sont 13 petits pains qui sont servis à la fin du repas de Noël, représentant les douze apôtres et le Christ, accompagnés par de nombreuses gourmandises, comme des fruits frais et secs, des gâteaux, des confitures et des sucreries.

Ce n’est que bien plus tard, que, le mouvement du Félibrige, fera mention des 13 desserts provençaux.

Le mouvement du Félibrige  fut fondé par  Frédéric Mistral, dans le but de restaurer, de maintenir la langue provençale et l’identité culturelle de la Provence.

Depuis la tradition veut que 13 desserts soient présents sur la table du Réveillon ! Pas un de plus, pas un de moins.

Les 13 desserts, une tradition provençale gourmande

En fonction des régions ou des cantons, la composition des 13 desserts varient.

Toutefois, la liste du « Musée des Arts et Traditions populaires du terroir Marseillais » est considéré comme la liste de référence, pour les 13 desserts.

Si vous souhaitez fêtez ce Noël à la provençale, nous partageons avec vous, ci-dessous, la liste indicative, de ce que vous devrez prévoir :

–          La pompe à Huile, un dessert à base de farine, d’huile d’olive, de sucre et de fleur d’oranger

–           Les Quatre Mendiants, qui représentent quatre ordres religieux, ayant fait vœux de pauvreté : noix ou noisettes pour les Augustins, figues sèches pour les Franciscains, amandes pour les Carmes, et raisins secs pour l’ordre des Dominicains.

–          Les pommes

–          Le raisin frais

–          Le melon vert de fin de saison

–          Une orange, signe de richesse

–          Des dattes, symboles du Christ venus de l’orient

–          Le Nougat noir, au miel fondu cuit avec des amandes

–          Le Nougat blanc, aux noisettes, pignons de pins et pistaches

–          Le Nougat rouge, à la rose et aux pistaches

En fonction de vos gouts, vous pouvez l’agrémenter de dattes farcies de pâte d’amande, des calissons d’Aix, de la pâte de coing, de croquants aux amandes, etc

Alors pour Noël, cette année, mettez un peu de Provence dans votre Réveillon, et régalez vous !

Quant à la bonne résolution, que l’on avait prise l’année dernière, de manger moins sucré, … mais non, … on ne l’a pas oublié ! On  la garde juste bien au chaud pour le Nouvel An !

Source . Plaisirs et Maison de Provence.

Le Colombier.

Il se confectionne traditionnellement pour la Pentecôte, en y cachant une petite colombe en porcelaine, comme pour la fève de la galette des rois.
Il est dit selon la tradition, que le charme de ce gâteau est dû à la petite colombe que l’on trouve à l’intérieur.

Une devise est inscrite sur le gâteau (qui trouvera la colombe se mariera dans l’année). Très jolie tradition !

Recette du colombier, un délicieux gâteau provençal aux amandes, melon ou à l’orange confite. Ce gâteau à des variantes différentes, chacun le fait un peu à sa façon.

Ingrédients:
– 130 g d’amandes en poudre
– 130 g de sucre en poudre
– 80 g de melons ou oranges confites
– 30 g de beurre fondu
– 30 g de farine
– 4 blancs d’oeufs

– 1/2 sachet de levure chimique
– Parfum: vanille, grand marnier, 1 c à café.

Pour la décoration:
– confiture d’abricots et amandes effilées pour le dessus et autour du gâteau

Préparation:
Mélangez la poudre d’amandes, le sucre, la farine et la levure. Ajoutez le beurre fondu et un peu refroidi, puis les blancs d’oeufs montés en neige, fruits confits coupés en morceaux, puis grand marnier.
Versez ce mélange dans le moule bien beurré et fariné.
Répartir joliment les morceaux de melon confits à la surface de la préparation.

Cuire à four Th5 pendant 15 mn à 20 mn environ. Surveillez la cuisson du gâteau, cela cuit assez vite. Il doit être doré et une pointe de couteau doit ressortir sèche.
Démouler le gâteau sur une grille. Quand il est refroidi, étalez la confiture d’abricots sur le dessus et saupoudrer avec les amandes effilées grillées dessus et/ou autour du gâteau.

Avant

Après la décoration

Ce gâteau traditionnel qui s’en est allé dans l’oubli, semble revenir au goût du jour.

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Petite anecdote:  Autrefois, des pâtissiers  décidèrent de se réunir pour passer un moment ensemble à la période de Pentecôte dans un cabanon. Ils emmenèrent un gâteau qui pouvait se conserver « sans frigo » et c’est ainsi qu’est né le colombier.

SOURCE : J’aime le Vaucluse.

Bonnes fêtes de Pentecôte !

1er AVRIL

1er avril 1564

Poisson d’avril 

Depuis près d’un demi-millénaire, le 1er avril donne lieu en France et dans quelques autres pays à d’aimables farces surtout pratiquées par les enfants et leurs parents. Cette tradition remonte au roi Charles IX. Avant son édit de Roussillon (9 août 1564), en France, l’année calendaire commençait le 25 mars, et, de ce jour jusqu’au 1er avril, les Français avaient coutume de se faire des cadeaux pour célébrer le passage à l’année nouvelle.

En souvenir des temps anciens, les Français et les autres francophones n’en continuent pas moins à se faire des cadeaux « pour rire » à l’occasion du 1er avril. Comme le 1er avril coïncide aussi avec la fermeture de la pêche, le mois d’avril étant la période du frai (reproduction) pour beaucoup de poissons de rivière, on qualifie ces amusements de « poissons d’avril » car ils sont aussi peu sérieux que de pêcher un poisson en avril !..

Source : Hérodote.

Les poules.

Dans 1 mois ce sera Pâques, fête chrétienne, mais aussi, fête des Papilles, surtout au chocolat…. La poule y est représentée entr’autre….mais saviez vous vraiment tout sur cette dernière ??

LA POULE

Espèce non menacée

Description physique

De l’ordre des Galliformes et de la famille des Phasianidae, la poule est un oiseau de basse-cour qui est couvert de plumes protégeant son corps. Le mâle, appelé coq, se distingue de la femelle par une petite peau rouge vif sur la tête dénommée crête, des ergots sur les pattes, et les longues plumes de la queue. Le bec est court et fort, avec la pointe orientée vers le bas et ses deux pattes présentent quatre doigts chacune. Le contour de ses yeux placés latéralement est de couleur orange de même que ses oreillons. Une poule pèse entre 2,3 et 2,8 kg quand elle est adulte et sa vitesse de pointe est de 15 km/h.

Son lieu de vie

On retrouve la poule partout dans le monde. Elle craint la chaleur, l’humidité et les courants d’air. C’est pourquoi le poulailler est un endroit où elle vient pondre, mais également s’abriter de ces trois facteurs climatiques. Cependant, elle aime vivre en plein air, pour gratter la terre et attraper des insectes.

Son alimentation

La poule est omnivore. Elle se nourrit des vers de terre, des oléagineux, des céréales, des graines, des insectes qu’elle picore avec son bec. Elle aime aussi picorer des petits cailloux.

Sa reproduction

Le coq n’est fertile qu’entre 9 et 15 mois. La parade nuptiale commence par une danse autour de la poule choisie par le mâle. Celui-ci tourne en cercle en laissant trainer une de ses ailes au sol. Devant ce signe, il est possible que la poule tente de fuir, ce qui va davantage attiser le désir du coq. Quand arrive le moment favorable, le coq va sauter sur la poule et l’attraper au niveau de la crête ou par les plumes qui se trouvent au niveau du cou. La poule dès lors obéit, et se soumet en se mettant à genoux. Le coq se mettra sur le dos de celle-ci. L’accouplement se limite à accoler les cloaques.

Une fois que cela est fait, le mâle laissera son sac de semence à l’intérieur de la poule, marquant ainsi la fin de l’accouplement. L’union entre les cellules mâle et femelle donnera un œuf. Lorsque la poule aura pondu une dizaine d’œufs, elle va commencer à les couver. Au bout de 21 jours de couvaison, les œufs éclosent et les poussins sortent de leurs coquilles. Une poule peut pondre 100 à 300 œufs par an, selon la race et l’âge.

Son espérance de vie

La poule peut vivre jusqu’à 18 ans, mais elle vit rarement plus de 12 ans.

Le cri de la poule

La poule caquette, claquète, glousse ou crételle, tandis que le poussin pépie et le coq chante (le célèbre « cocorico » !).

Signes particuliers

Comme tout oiseau, la poule a des ailes, mais ne vole que très peu et assez bas.
La poule protège ses petits, mais elle ne les nourrit pas : les poussins se mettent rapidement à picorer tout seuls.

Les particularités des poules pondeuses

Comme vous pouvez vous en douter, certaines poules ont des distinctions qui font toute la différence, et c’est notamment le cas des poules pondeuses. En effet, on peut dire que cette race de poules n’est pas tout à fait comme les autres ! Dans les faits, ces dernières sont assez pratiques pour celles et ceux qui cherchent un rendement plus important en œufs. Avec une ponte qui est plus abondante que bien d’autres races de poules, les poules pondeuses disposent de cette particularité qui font que leur race est particulièrement appréciée.

D’ailleurs, et vous pourrez en découvrir plus sur d’autres sites à ce sujet, les poules pondeuses commencent tout juste à pondre leurs premiers œufs au bout de 20 semaines. Par ailleurs, les poules pondeuses sont aussi réputées pour être assez faciles à vivre, contrairement à d’autres races de poules qui peuvent avoir un caractère beaucoup plus difficile que les autres. Ainsi, dans le cas d’une cohabitation avec de jeunes enfants, les poules pondeuses semblent parfaitement adaptées. En revanche, ce n’est pas pour autant qu’il faut les faire vivre dans un endroit inadapté à leurs besoins ! En bref, prenez soin de vos poules avec tout le matériel et l’environnement qu’elles réclament.

SOURCE : jaitoutcompris.com